Victor Hugo ; Les misérables (1862) L’indifférence de ces penseurs, c’est là, selon quelques-uns, une philosophie supérieure. Victor Hugo ; Les misérables (1862) Le premier symptôme de l’amour vrai chez un jeune homme c’est la timidité, chez une jeune fille c’est la hardiesse. Victor Hugo ; Les misérables (1862) Les bras des mères sont faits de tendresse ; les enfants y dorment profondément. Victor Hugo ; Les misérables (1862) Partout où il y a une jolie femme, l’hostilité est ouverte. Victor Hugo ; Les misérables (1862) Le compliment, c’est quelque chose comme le baiser à travers le voile. Victor Hugo ; Les misérables (1862) Faire des compliments à celle qu’on aime est la première façon de faire des caresses.
Victor Hugo ; Les misérables (1862) L’amour a des enfantillages, les autres passions ont des petitesses. Victor Hugo ; Les misérables (1862) Vous qui souffrez parce que vous aimez, aimez plus encore : mourir d’amour, c’est en vivre. Victor Hugo ; Les misérables (1862) L’amour est une respiration céleste de l’air du paradis. Victor Hugo ; Les misérables (1862) Le suprême bonheur de la vie, c’est la conviction qu’on est aimé. Victor Hugo ; Les misérables (1862) Le plus beau des autels, c’est l’âme d’un malheureux consolé qui remercie Dieu. Victor Hugo ; Les misérables (1862) L’indifférence de ces penseurs, c’est là, selon quelques-uns, une philosophie supérieure. Victor Hugo ; Les misérables (1862) Le premier symptôme de l’amour vrai chez un jeune homme c’est la timidité, chez une jeune fille c’est la hardiesse.
Victor Hugo ; Les misérables (1862) La curiosité des amoureux ne va pas très loin au delà de leur amour. Victor Hugo ; Les misérables (1862) Il y a un Dieu pour ces ivrognes qu’on appelle les amoureux. Victor Hugo ; Les misérables (1862) Soyez donc amoureux gaiement, que diable ! Victor Hugo ; Les misérables (1862) Nos amours ont duré toute une semaine, mais que du bonheur les instants sont courts ! S’adorer huit jours, c’était bien la peine, le temps des amours devrait durer toujours. Victor Hugo ; Les misérables (1862) Une fille d’esprit, c’est possible ! Victor Hugo ; Les misérables (1862) La fièvre nourrit le malade et l’amour l’amoureux.