Victor Hugo exprime également sa souffrance à travers plusieurs champs lexicaux : celui de la souffrance, celui de l’horreur, celui de la révolte et du refus.
Or, Comment Victor Hugo Exprime-t-il sa souffrance dans le livre IV des Contemplations ? Il cède une part de sa force de vivre dans ce poème afin de faire vivre éternellement son enfant. V. Hugo pleure sa fille Léopoldine, exprime sa douleur personnelle qui est si forte qu’il vient à délirer, à entrer dans un état de démence.
Quand les mots ne peuvent plus dire ce que ressent le cœur Hugo ? Quand les mots ne peuvent plus dirent ce que ressent le coeur, il y a les actes et surtout les regards… On essaie d’exprimer des sentiments avec des mots, mais certains sont tellement fort, que peu importe les lettres que l’on assemblera cela ne suffira pas à dire ce que l’on ressent …
De plus, Pourquoi les mémoires d’une âme Victor Hugo ? L’intitulé du parcours « Mémoires d’une âme » est une expression empruntée à la préface des Contemplations de Victor Hugo. Hugo propose une définition de la poésie comme miroir de la vie humaine, porteuse d’une mémoire personnelle qui tend à l’universel.
Comment comprendre les Contemplations de Victor Hugo ?
Les Contemplations ont aussi un sens mystique : il s’agit de l’itinéraire spirituel de Victor Hugo, qui veut « contempler Dieu » comme annoncé dans sa préface. Le poète s’interroge sur le destin humain, le sens de la mort. Il partage ses doutes et son désespoir suite au décès de sa fille.
Comment comprendre les Contemplations ? L’amour occupe une première place importante. Hugo décrit d’un côté le souvenir de l’amour familial, d’une famille unie et heureuse. D’un autre côté, il dresse le portrait de l’amour sentimental et exaltant porté à une femme, faisant référence aux premiers émois de sa jeunesse, par exemple dans le poème Lise.
Pourquoi Victor Hugo fuit en Belgique en 1852 ? Pour publier Napoléon le Petit il ne peut prolonger son séjour en Belgique. Il partira donc pour Jersey. Il s’embarque à Anvers le 1er août 1852. Alors commence la grande époque de Jersey-Guernesey, celle où le poète reçoit des lettres en provenance des Amériques, et qui portent pour toute adresse : » Hugo, Océan.
Quand les mots sont inutiles ? Les mots sont totalement inutiles quand les actions sont utiles, les mots sont vains quand les actions sont concrètes.
Quand les mots font l’amour ?
André Breton (2)
Les mots font l’amour. Deux mains qui se cherchent, c’est assez pour le toit de demain. En matière de révolte, aucun de nous doit avoir besoin d’ancêtres.
Quand il n’y a plus de mots ? Lorsqu’il n’y a plus de mots, ne cherche ni à parler, ni à penser à autre chose. Le silence a sa propre éloquence parfois plus précieux que les paroles.
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